TY - BOOK AU - Niyonizeye,Fidèle AU - Hakizimana,Alexis ED - Université du Burundi TI - La place des activités physiques dans les prescriptions médicales au Burundi: cas des maladies cardiovasculaires au Centre Hospitalo-Universitaire de Kamenge PY - 2015/// CY - Bujumbura PB - Université du Burundi, Institut d'Education Physique et des Sports KW - BI-BuBU KW - Maladie cardiovasculaire KW - Prescription médicale KW - Centre Hospitalo-Universitaire de Kamenge KW - Mémoire N2 - Résumé Le présent travail parle de la place des activités physiques dans les prescriptions médicales au Burundi : Cas des maladies cardiovasculaires au centre hospitalo-universitaire de Kamenge. Il est subdivisé en trois chapitres : le premier est la revue de littérature comportant quelques définitions mises au clair pour mieux comprendre l'influence exacte de l'exercice physique sur les maladies cardiovasculaires, les facteurs de risques et prévention des maladies cardiovasculaires, traitement ou prise en charge des maladies cardiovasculaires. Le deuxième présente les considérations méthodologiques utilisées pour le recueil des données, les hypothèses de recherche ainsi que le mode de traitement des résultats. Le troisième et dernier chapitre parle de la présentation, analyse et interprétation des résultats et nous a conduit à des conclusions suivantes : Sur 456 patients qui se sont fait soignés au service de cardiologie au Centre Hospitalo-Universitaire de Kamenge, 3.5% ont été soumis aux activités physiques comme prescriptions écrites et 80% , selon l'entretien, comme prescriptions verbales. D'où les activités physiques occupent une place de choix dans les prescriptions médicales. La durée, le type et la fréquence sont les mêmes pour tous les patients alors que la prescription des AP devrait tenir compte de la gravité de la maladie, de l'âge et du passé sportif du patient. De cela nous pouvons dire que les médecins ne donnent pas une bonne orientation aux personnes atteintes des maladies cardiovasculaires quant au choix d'activité physique adaptée leur état. Les médecins, après la prescription des APS comme thérapie, ne font pas de suivi et évaluation des effets sur la santé de leurs patients d'où les risques de récidive. ER -