Univers fantastique dans le Horla de Guy de Maupassant
/ Pascal nicayenzi; Dr. Concilie Bigirimana, Direteur
. - Bujumbura : Université du burundi, Faculté des lettres et sciences humaines, département de langue et littérature françaises, 2018
. - V-71 f. ; 30 cm.
RÉSUME,
Guy de MAUPASSANT est un écrivain du XiXᵉ siècle français qui dut fécond dans la seconde moitié du siècle. Au milieu d'un foisonnement des courants littéraires comme le romantisme, le réalisme, le naturalisme et le symbolisme, il est réaliste et ami de Gustave Flaubert et pratique une littérature d'actualité qui trouve une inspiration dans des faits divers et les anecdotes. Rejoignant Théophile Gautier, il devient ensuite écrivain triomphant dans le nouveau courant fantastique, et Le Horla, axé sur le sentiment de la peur issue du paradoxe de l'inhabituel au sein du normal quotidien, analyse ce sentiment irraisonné qui s'empare parfois de l’âme anxieuse et la fait frissonner comme si une menace pesait sur elle. Notre travail s'intitule ˂˂ Univers Fantastique dans Le Horla de Guy de Maupassant ˃˃ comporte trois chapitres. Dans le premier chapitre, un cadre thèorique, nous traitons du concept et des quelques définitions du fantastique, le fantastique français et Maupassant et littérature. Nous abordons aussi la présentation de Maupassant et son œuvre où figure Le Horla. Au second chapitre intitulé l'étude thématique, nous traitons du génie fantastique de Maupassant à travers les thèmes spécifiques au fantastique de Maupassant à travers les thèmes spécifiques au fantastique regroupés en thèmes non-liés au contexte spatio(temporel et ceux liés au contexte patio-temporel. Le thème du surnaturel et celui de la peur restent dominants. Enfin, la dernier partie traite de l'écriture spéciale qui illustre deux antagonistes en relation de rivalité où l'un invisible et peuple de l’au-delà s'identifie par ˂˂ On ˃˃ et qui garde son emprise sur le narrateur, l'autre, un peuple du monde terrestre qui se reprise sur le par ˂˂ je ˃˃ et dont l'étude de l'expression de son désarroi nous intéresse enfin.