Ndayishimiye Elfi
Analyse de l' Impact de la fiscalité sur la consommation des ménage sur consommation des ménages et l' investissement privé au Burundi: 1980-2012 / Elfi Ndayishimiye; Cyriacque Ndayishimiye, directeur . - bujumbura : Université du Burundi, Faculté des sciences économiques et administratives, 2015 . - X-98 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et soutenu publiquement en vue de l'obtention du grade de Lincencié en Sciences Economique et Administratives
Résumé
Dans le cadre de notre travail de recherche intitulé "ANALYSE DE L'IMPACT DE LA FISCALITE SUR LA CONSOMMATION DES MENAGES ET L'INVESTISSEMENT PRIVE AU BURUNDI", il a été question d'analyser l'impact de la fiscalité sur la consommation des ménages et l'investissement privé au Burundi étant donné que la consommation et l'investissement sont de grandes composantes de la demande et nécessaire pour stimuler la croissance économiques alors que la fiscalité est considérée comme un des grands instruments de la budgétaire.
Nous nous sommes donné comme hypothèse de travail que la fiscalité exerce un impact négatif et significatif sur la consommation des ménages et l'investissement privé au Burundi.
Pour arriver à tester notre hypothèse, certaines variables de décision ont été prises.
C'est éventuellement la consommation des ménages et l'investissement privé comme variables endogènes pour la première et la deuxième équation ; et le produit intérieur brut, l'indice des prix à la consommation, la consommation publique, les impôts directs et indirects, l'investissement public comme variables exogènes.
Plusieurs techniques et méthodes pour le recueil et le traitement des données nous ont été très utiles. C'est notamment la méthode économétrique qui, à l'aide du Modèle à Correction d'Erreur, nous a permis de voir que toutes les variables explicatives considérées sont contributives à la consommation des ménages et l'investissement privé que ce soit à court ou à moyen terme bien que leur contribution ne soit pas la même.
Nos résultats trouvés n'ont pas été concordants avec nos attentes contenues dans notre hypothèse car nous avons trouvé que les impôts direct exercent un impact négatif mais non significatif sur l'investissement privé et que les impôts indirects exercent un impact négatif mais non significatif sur la consommation des ménages, ce qui nous a poussés à confirmer partiellement notre hypothèse de travail.
Par conséquent, les résultats trouvés nous ont poussés à suggérer à l'Etat, de continuer à créer un climat favorable à l'investissement privé, de revoir l'organisation du système fiscal afin de ne pas continuer à avoir des répercussions sur les prix des biens et services.
Mots clés : Fiscalité, Consommation des ménages, Investissement privé, Impôts.
Don de l' auteur
336.2
Analyse de l' Impact de la fiscalité sur la consommation des ménage sur consommation des ménages et l' investissement privé au Burundi: 1980-2012 / Elfi Ndayishimiye; Cyriacque Ndayishimiye, directeur . - bujumbura : Université du Burundi, Faculté des sciences économiques et administratives, 2015 . - X-98 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et soutenu publiquement en vue de l'obtention du grade de Lincencié en Sciences Economique et Administratives
Résumé
Dans le cadre de notre travail de recherche intitulé "ANALYSE DE L'IMPACT DE LA FISCALITE SUR LA CONSOMMATION DES MENAGES ET L'INVESTISSEMENT PRIVE AU BURUNDI", il a été question d'analyser l'impact de la fiscalité sur la consommation des ménages et l'investissement privé au Burundi étant donné que la consommation et l'investissement sont de grandes composantes de la demande et nécessaire pour stimuler la croissance économiques alors que la fiscalité est considérée comme un des grands instruments de la budgétaire.
Nous nous sommes donné comme hypothèse de travail que la fiscalité exerce un impact négatif et significatif sur la consommation des ménages et l'investissement privé au Burundi.
Pour arriver à tester notre hypothèse, certaines variables de décision ont été prises.
C'est éventuellement la consommation des ménages et l'investissement privé comme variables endogènes pour la première et la deuxième équation ; et le produit intérieur brut, l'indice des prix à la consommation, la consommation publique, les impôts directs et indirects, l'investissement public comme variables exogènes.
Plusieurs techniques et méthodes pour le recueil et le traitement des données nous ont été très utiles. C'est notamment la méthode économétrique qui, à l'aide du Modèle à Correction d'Erreur, nous a permis de voir que toutes les variables explicatives considérées sont contributives à la consommation des ménages et l'investissement privé que ce soit à court ou à moyen terme bien que leur contribution ne soit pas la même.
Nos résultats trouvés n'ont pas été concordants avec nos attentes contenues dans notre hypothèse car nous avons trouvé que les impôts direct exercent un impact négatif mais non significatif sur l'investissement privé et que les impôts indirects exercent un impact négatif mais non significatif sur la consommation des ménages, ce qui nous a poussés à confirmer partiellement notre hypothèse de travail.
Par conséquent, les résultats trouvés nous ont poussés à suggérer à l'Etat, de continuer à créer un climat favorable à l'investissement privé, de revoir l'organisation du système fiscal afin de ne pas continuer à avoir des répercussions sur les prix des biens et services.
Mots clés : Fiscalité, Consommation des ménages, Investissement privé, Impôts.
Don de l' auteur
336.2