Niyonzima, Pascaline
Contribution à l' étude des plantes sauvages comestibles et médicinales pour l' homme : cas de la commune Ryansoro / Pascaline Niyonzima ; Ferdinand Niyongabo, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Institut de pédagogie appliquée, 2016 . - VII-54 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Pédagogie Appliquée, Agrégé de l' Enseignement Secondaire en Biologie
Résumé,
Notre travail a pour objectif d'étudier les plantes sauvages comestibles et médicinales pour l'homme en commune Ryansoro. Le travail a été réalisé par la méthode d'enquête au proche de la population.
Au cours de cette étude, 74 espèces réparties en 68 genre et en 44 familles ont été inventoriées avec la dominance des Magnoliopsida (69 espèces) sur les les Liliopsida (5 espèces). La famille la plus représentée est celle des Solanaceae avec 3 espèces pour les plantes sauvages comestibles et celle des Asteraceae avec 10 espèces pour les plantes médicinales. Pour les types morphologiques des plantes sauvages comestibles ; l'élement ligneux est le plus exploité avec 53 % et la forme biologique dominante est celle des phanérophytes (37 %). L'élément soudano-zambézien domine avec 36 % pour les espèces sauvages comestibles. Les organes les plus consommés sont les fruits avec 47,4 % et la catégorie des personnes qui en consomment en grande quantité sont les enfants avec 63 %.
Concernant les plantes médicinales, pour les types morphologiques, l'élément ligneux domine avec 62,2 % et la forme biologique dominante est celle des phanérophytes avec 53 %.
L'élément soudano-zambézien reste dominant avec 49 %. Pour l'étude ethnopharmacognosique, les maladies de l'appareil digestif sont les plus fréquentes avec 29,1 % suivies des maladies gynécologiques et les maladies infantiles avec 17 % chacune.
Quant aux modes d'administration des médicament, la voie orale est plus dominante avec 57,1 % suivie de la voie anale avec 28,6 %. Concernant les organes des plantes utilisées dans le traitement des maladies, les feuilles sont les plus exploitées avec 70 % et les modes de préparation les plus employés sont l'extraction du suc et la décoction avec 45,6 % et 17,6 % respectivement.
Don de l' auteur
633.88
Contribution à l' étude des plantes sauvages comestibles et médicinales pour l' homme : cas de la commune Ryansoro / Pascaline Niyonzima ; Ferdinand Niyongabo, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Institut de pédagogie appliquée, 2016 . - VII-54 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Pédagogie Appliquée, Agrégé de l' Enseignement Secondaire en Biologie
Résumé,
Notre travail a pour objectif d'étudier les plantes sauvages comestibles et médicinales pour l'homme en commune Ryansoro. Le travail a été réalisé par la méthode d'enquête au proche de la population.
Au cours de cette étude, 74 espèces réparties en 68 genre et en 44 familles ont été inventoriées avec la dominance des Magnoliopsida (69 espèces) sur les les Liliopsida (5 espèces). La famille la plus représentée est celle des Solanaceae avec 3 espèces pour les plantes sauvages comestibles et celle des Asteraceae avec 10 espèces pour les plantes médicinales. Pour les types morphologiques des plantes sauvages comestibles ; l'élement ligneux est le plus exploité avec 53 % et la forme biologique dominante est celle des phanérophytes (37 %). L'élément soudano-zambézien domine avec 36 % pour les espèces sauvages comestibles. Les organes les plus consommés sont les fruits avec 47,4 % et la catégorie des personnes qui en consomment en grande quantité sont les enfants avec 63 %.
Concernant les plantes médicinales, pour les types morphologiques, l'élément ligneux domine avec 62,2 % et la forme biologique dominante est celle des phanérophytes avec 53 %.
L'élément soudano-zambézien reste dominant avec 49 %. Pour l'étude ethnopharmacognosique, les maladies de l'appareil digestif sont les plus fréquentes avec 29,1 % suivies des maladies gynécologiques et les maladies infantiles avec 17 % chacune.
Quant aux modes d'administration des médicament, la voie orale est plus dominante avec 57,1 % suivie de la voie anale avec 28,6 %. Concernant les organes des plantes utilisées dans le traitement des maladies, les feuilles sont les plus exploitées avec 70 % et les modes de préparation les plus employés sont l'extraction du suc et la décoction avec 45,6 % et 17,6 % respectivement.
Don de l' auteur
633.88