Problématique de la réinsertion psychosociale des "déplacés" de la crise sociopolitique d'octobre 1993 au Burundi
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drt
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Ndayishimiye, Jean Bosco
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aut
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Université du Burundi
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Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education
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Mémoire
| Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 362.58 HAT. (Browse shelf) | 2 | Not For Loan | 5010000422424 | |
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Memoire
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Bibliothèque de la Faculté de Psychologie et Sciences de l’Education | 362.58 HAT. (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000296865 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Sciences de l'Education.
Résumé
Le présent travail est consacré à la problématique de la réinsertion psychosociale des personnes déplacées de la crise sociopolitique d'octobre 1993 au Burundi. Il comprend deux principales parties : le cadre théorique et méthodologique et la présentation des cas, l'analyse des données et l'interprétation des résultats.
La première partie concerne l'élucidation des concepts clés, les généralités sur la crise sociopolitique d'octobre 1993 au Burundi, les conséquences de la crise sociopolitique d'octobre 1993, l'approche sur la réinsertion psychosociale des personnes déplacées, la problématique, les objectifs et la méthodologie de recherche. Les données recueillies auprès de 8 personnes déplacées par l'entretien semi-directif ont été analysées qualitativement et les résultats constituent l'essentiel de la deuxième partie axée autour des relations sociales qui se tissent entre les personnes déplacées et l'entourage social ainsi que les obstacles à la réinsertion psychosociale des personnes déplacées.
Les résultats de l'enquête ont montré que les relations sociales entre les personnes déplacées et l'entourage social sont diversifiées. Il y a des personnes avec lesquelles les déplacées se sentent bien en sécurité au moment où il y a d'autres qui suscitent une méfiance terrible. L'impunité, la peur, les traumatismes subis, les souvenirs amers, les risques des reprises des violences suite aux turbulences politiques qui n'ont jamais cessé, constituent les obstacles majeurs pour le retour des déplacées dans leurs milieux d'origine.
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