Notre sujet de recherche montre qu'avant que le Burundi ne soit placé sous la domination étrangère avait son mode de vie.

Le 1er chaitre montre les différents moyens d'acquisition une propriété que la population exploitait pour satisfaire ses besoins alimentaires et sociaux. La mise en culture respectait en calendrier agricole et l'agriculture était handicapée par certaines containtes notamment naturelle et socio-politiques. L'élevage était une activité complémentaire à l'agriculture. On élevait essentiellement le gros et le petit bétail. Le gros bétail avait une imprtance capitale qui se matérialisait dans le système de don et contre-don.

Le 2ème chapitre montre que l'agriculture a connu des modifications avec une part importante de l'administration coloniale. Différentes méthodes ont été employées pour développer l'agriculture indigène. Des cultures obligatoires ont été introduites, des bas-fonds ont été aménagés pour combattre les famines. La caféIculture a été introduite pour favoriser la monétarisation de la paysannerie.
L'INEAC et les ZAR ont permis la sélection, la vulgarisation et la diffusion des plantes sélectionnées. Le reboisement et lentretien des paddocks ont quant à eux permis la gestion des pâturages andis que la construction des dipping-tanks a joué un rôle dans l'amélioration de la santé du bétail.

Le 3ème chapitre traite les comportements des indigènes face à ces innovations agricoles. La population a adopté différentes formes de résistances. D'abord résistance active puis passive et enfin l'émigration dans les territoires britanniques. Les chefs locaux ont joué le rôle d'intermédiaire entre la population et les autorités coloniales. Les relations qui caractérisaient ces interventions n'étaient pas toujours bonnes.