Contribution à l'étude des technologies post-récoltes du riz
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aut
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Université du Burundi
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Faculté des Sciences Agronomiques, Département de Technologie Agro-Alimentaire
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Riz
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transformation
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Ngozi (province)
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Riz
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Assurance qualité
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Ngozi (province)
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Mémoire
| Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 633.18 HAK. (Browse shelf) | 1 | Not for loan | 5010000158217 |
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Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade d'ingénieur Agronome
RESUME
Le présent travail visait à établir l'état des lieux des technologies post-récoltes du riz, quantifier les pertes post-récoltes afin de faire des propositions pour l'amélioration de la qualité du grain de riz local.
Notre recherche s'est centrée sur trois variétés principalement transformées à Ngozi (Kigori, Karundi, Watte) et une variété tanzanienne qui est transformée en république de Tanzanie mais mais vendue à Ngozi.
Après avoir observé toutes les techniques de transformations mises en oeuvre, nous avons calculé à partir de la quantité récoltée, les pertes enregistrées depuis le séchage jusqu'à la phase de commercialisation du paddy.
Pour analyser la qualité de ces variétés, une cuisson ordinaire a été effectuée au sein de la faculté des sciences agronomiques de l'université du Burundi et un échantillon des dégustateurs choisis selon leurs habitudes dans la consommation du riz a été invité pour apprécier et classer nos variétés suivant leurs qualités organoleptiques. Les paramètres analysés étaient le gonflement après la cuisson, l'odeur, le goût, l'apparence avant et après la cuisson.
Les résultats de terrain montrent que les opérations du système post-récoltes sont essentiellement basées sur les procédés peu performants dûs au manque de moyens nécessaires.
Ce qui influe sur la qualité et le rendement du riz après l'usinage.
Le test de la variance a révélé un effet très hautement significatif entre les variétés et celui de corrélation de Pearson a montré que tous les paramètres pris deux à deux sont corrélés positivement et donc le prix de vente dépend de la qualité de la variété.
Ainsi, les variétés locales viennent en première position au niveau de la qualité culinaire tandis que la variété tanzanienne se montre excellente dans tous les paramètres d'analyse de la qualité organoléptique.
Consécustivement à ces résultats, nous proposons au gouvernement de mettre en place un système d'encadrement des producteurs, des transformateurs et des commerçants du riz.
Aux chercheurs d'importer des variétés qui donnent mieux à l'extérieur afin de les tester sur le sol Burundais.
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