Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Langue et Littérature Française.

RESUME,

Le présent travail a pour objectif de montrer le caractère fantastique dans Qui se souvient de la mer de Mohammed Dib. Le fantastique est là pour souligner les évènements malheureux qui ont secoué l'Algérie pendant la guerre de décolonisation.
Mohammed Dib a préféré le fantastique pour déterminer son état de frustration. Dans ce travail on montre d'abord l'auteur de l’œuvre de base et son espace littéraire. C'est l'aperçu historique de la littérature algérienne. Cette dernière est subdivisée en trois phases: l'acculturation et le mimétisme. C'est l'identification de la culture française.

la deuxième phase est la phase de libération ou la littérature de combat. C'est la réaction contre l'adoption de la culture française. Cette phase est suivie par la phase de l'immigration ou la recherche de l'identité perdue.
Cette littérature évolue dans deux langues: l'arabe et le français. C'est son enrichissement.
Au cours de c"e travail on montre l'évolution du fantastique tout en précisant le volet fantastique dans l’œuvre traitée. Qui se souvient de la mer relate l'évènement historique précis: la guerre de décolonisation.

L'étude thématique est orientée vers le fantastique. Quelques thèmes renvoyant au fantastique ont été relevés.
L'auteur n'a pas oublie d'utilisé un style précis notamment quelques figures de style, le récit à la première personne, le symbolisme et le récit descriptif.
Le sujet traite donc l'utilisation du fantastique pour insister sur les moments difficiles de l'histoire algérienne caractérisée par la colonisation et le parcours de décolonisation.