Screening phytochimique, exstraction, essais d'identification des tennins de l'écoce du prunus africana (umuremera) de la forêt de la Kibira et test de leur activité antibacterienne
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Bibliothèque Centrale | 633.88 NDI (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000320058 |
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Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de licencié en pédagogie Appliquée, Agrégé de l'enseignement secondaire en chimie
RÉSUME,
Dans le présent travail intitulé ˂˂ Screening phytochimique, extraction, essais d'identification des tannins de l'écorce du Prunus africana de la Kibira et test de leur activité antibactérienne˃˃, nous avons mené une contribution à l'étude phytochimique du Prunus africa. L'objectif visé est l'identification des principes actifs que renferme cette plante par le sereening phytichimique, l'isolation par les méthodes chromatographiques et enfin le test sur l'activité antibactérienne des extraits du principe actif dominant.
Le screening phytochimique de l'échantillon des écorces du Prunus africana a été réalisé en utilisant les différentes réactions appropriées et spécifiques dans la détection des principes actifs. Il a révélé l'abondance des tannins, la présence en quantité moyenne des flavonoïdes et des leucoanthocyanes, les alcaloïdes et les saponosides en traces tandis que les anthraquinones, les stéroïdes et terpènes sont absents dans cet échantillon. Ceci explique l'usage thérapeutique des écorces de cette plante.
C'est le système de solvants toluène-acétone-acide acétique qui a été utilisé pour extraire les tannins, principe actif dominant dans l'échantillon. Les propriétés physiques et chimiques des tannins nous ont permis de confirmer que ceux extraits sont des tannins catéchistique et ceci grâceaux réactifs de STIASNY et FeCIᴣ.
L'antibiogramme réalisé à partie d'une boite de pétric nous a montré une sensibilité intermédiare des souches de Escherichia coli et Staphylococcus aureus en présence de l’extrait à l'acétone-eau et une résistance devant l'extrait tannique nommée M. Les causes de cette résistance seraient dues à la nature de ces bactéries ou aux faibles concentrations de notre extrait ou encore aux conditions expérimentales depuis l'extraction jusqu'à la réalisation de l'antibiogramme.
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