Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Langues et Littérature Française

RÉSUME,

Notre travail a porté les crimes passionnels dans la bête humaine d’Émile Zola. En effet, la bête humaine est le dix-septième roman du cycle des Rougon-Maciquart, vaste fresque qui parle de l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous second empire. C'est un roman sinistre, l'histoire des crimes où l'on assiste à une des plus sanglantes tueries sur un petit bout de terre, d'une gare secondaire reliant paris au Havre.

Après introduction générale présentant la motivation et le choix du sujet, la problématique, l'objectif et l'hypothèse de travail ainsi que la méthodologie, notre travail s'articule sur trois chapitres.
Au premier chapitre, nous avons parlé de la vie et œuvre de l'auteur. Nous avons vu que avant d'entrer dans la carrière littéraire, il a pratiqué différents métiers. Dès son entrée, il fut d'abord un fervent romantique avant d'évoluer vers le naturalisme dont il fut le chef. Comme chef du courant naturaliste, il se donne à défendre la cause des opprimés en luttant contre l'exploitation de l'homme par l'homme et son engagement procède à une prise de conscience des conditions auxquelles vivent les démunis.

Dans le second chapitre, nous avons parlé de la structure romanesque du roman Là, nous avons décrit le roman comme une œuvre illustrant le naturalisme, une œuvre de science parlant ainsi de la structure du roman où nous avons trouvé qu'il est structuré sur plusieurs faits marquants.

Enfin, le troisième chapitre illustre la dimension psychologique du criminel Nous avons observé criminel dans ses caractère physique et psychique. Au terme de ce travail, nous avons conclu que la bête humaine est une œuvre de passion, une œuvre riche et dense en thèmes annonçant en quelque sorte le 20ᵉᵐᵉ siècle.