L'image de la société camerounaise à l'époque coloniale à travers les oeuvres trois prétendants... un mari de Guillaume Oyono Mbia, le vieux nègre et la médaille de ferdinand Oyono et ville cruelle de Mongo Beti






Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Bibliothèque Centrale | 896. GAY. I (Browse shelf) | 1 | Not for loan | 5010000158729 |
Mémoire présenté te défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de licence en Pédagogie Appliquée, Agrégée de l'Enseignement Secondaire en Français
RESUME
La littérature avec sa qualité de fixation et de conservation de l'information nous permet d'étudier la situation littéraire de la société camerounaise à l'époque coloniale avec l'analyse du contexte historique, social et culturel et dresser la biographie de Guillaume Oyono MBIA, Ferdinand OYONO et Mongo BETI. Les résumés des oeuvres Trois prétendants ... un mari, Le vieux nègre et la médaille et Ville cruelle illustrent l'action de ces écrivains.
Dans la société camerounaise de l'époque coloniale, il y a des éléments qui permettent à la société camerounaise de jouir du statut de société traditionnelle avec la survivance des habitudes archaïques comme la sorcellerie, la polygamie, la dot conçue comme vente aux enchères et la richesse comme une idolâtrie.
Les rites d'initiation, l'esprit de solidarité et la conception de l'image de la femme camerounaise traditionnelle montrent comment la société camerounaise de l'époque coloniale se distingue de sa façon d'organisation pour maintenir l'unié et l'hériage du passé malgré l'oppression et l'exploitation du pouvoir colonial.
La société camerounaise de l'époque coloniale est aussi une société consciente de la nécessite du changement. Le peuple camerounais découvre le mensonge des missionnaires et l'administration coloniale. D'où la dégradation du sentiment religieux. Les Camerounais décident de rompre l'amitié entre Blancs et Noirs.
La jeunesse instruite donne l'enseignement à leurs parents de façon irréprochable pour régler les affaires qui les concernent. La jeunesse non instruite se distingue par sa bravoure car elle n'hésite pas à faire face à leurs oppresseurs. Nous admirons le courage des femmes qui n'ont plus honte d'exprimer l'avis contraire à l'opinion populaire lorsqu'elles constatent que leurs intérêts sont menacés.
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