Etude critique des techniques de stockage des grains au Burundi
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Université du Burundi
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Faculté des sciences agronomiques
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Riz
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Stockage (Technique)
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Burundi
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Maïs
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Stockage( Technique)
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Burundi
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Haricot
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Stockage ( Technique)
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Burundi
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Mémoire
| Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 633.18 NGE. (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000156572 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l' obtention du grade d' Ingénieur Agronome
RESUME
Les céréales (maïs, le riz, le blé et autres) ainsi que les légumineuses (haricot, le soja, etc) ont été et restent toujours les principaux aliments de base de la grande majorité de la population mondiale en général et burundaise en particulier.
Au Burundi, la production de ces produits est saisonnière dans certaines régions et annuelle dans d'autres, d'où nécessité de conservation à long termes (d'un mois à plus d'un an) de ces produits en vue de bien alimenter la population dans le futur.
Depuis longtemps, les burundais savaient conserver chacun de sa manière les produits de leur récolte surtout des grains de riz, de maïs et de haricot. Cette conservation se faisait pour diverses raisons dont : la consommation , la commercialisation (le troc avant la colonisation), échanges de cadeaux lors des visites de courtoisie ou d'amitié.
Malgré leur désir de stocker les céréales et les légumineuses pour couvrir leur besoins alimentaires et financiers futurs, certains agriculteurs burundais écoulent souvent une bonne partie de leur production à la récolte lorsque les prix sont encore bas. Certains d'entre eux sont contraints de vendre ces produits par suite d'endettement et d'assujettissement économique, d'autre parce qu'ils considèrent l'entreposage très coûteux, trop aléatoire ou encore bien moins rentable que d'autres investissements, par exemple dans du bétail.
L'objectif principal de notre travail était l'analyse critique des techniques de stockage des grains de riz du maîs et du haricot afin de proposer des stratégies d'améliorations pouvant rendre ces techniques plus meilleures et accessibles à la populations burundaise et les recommandations ont été formulées. Nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper, que notre contribution a été d'une importance capitale pour la population agricole burundaise en général et plus spécialement les producteurs des céréales et graminées.
En effet, l'analyse nous a permis de constater que les techniques de stockage existaient depuis longtemps au Burundi mais connaissent de multiples défis qu'il faudra relever. Il s'agit entre autre du faible pouvoir d'achat de la population qui pousse les gens à recourir à des techniques traditionnelles non améliorées, le manque de sensibilisation sur le stockage ainsi que le manque du personnel qualilifié dans la gestion des stocks.
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