Contribution à l' étude des systèmes d'élevage et d' abattage du porc
Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Bibliothèque Centrale | 636.4 COY. (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000207328 | |
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Bibliothèque du Campus Zege | 636.4.COY. (Browse shelf) | Not For Loan | 5010000504526 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l' obtention
Résumé,
Notre travail avait pour objectif d'analyser et de donner une contribution sur les systèmes d'élevage et d'abattage des porcs dans la commune MUHANGA en province KAYANZA.
Au cours de ce travail, un questionnaire d'enquête a été élaboré pour recueillir des informations auprès des éleveurs et des bouchers du porc.
L'enquête consistait en une interview face à face de l'éleveur et du boucher.
Elle a été réalisée chez 90 éleveurs et 90 bouchers de la commune MUHANGA et s'est déroulée de juillet à septembre 2014.
Les résultats trouvés montrent que l'élevage des porcs dans la zone d'étude est pratiqué par les hommes et les femmes de faible niveau de formation qui orientent leur métier à la recherche de l'argent (62 %) et la production du fumier (38 %).
Les méthodes d'élevage restent archaïques car seulement 16 % des exploitants enquêtés pratiquent la stabulation permanente.
L'essentiel de l'alimentation est composé des restes de cuisine, des résidus de récoltes et des fourrages vert (60 %).
Quant au logement, 70 % des éleveurs ont des porcheries, mais la maison d'habitation familiale joue également le rôle de porcherie car nous avons remarqué que certains éleveurs (30 %) vivent avec leurs porcs.
Aussi l'analyse nous montre également que l'abattage des porcs s'effectue dans la nature pour 62 % et tout près des maisons pour 38 %.
La technique d'abattage reste le dépouillement de la carcasse, le flambage et le grattage de la peau (100 %).
Pendant l'abattage, les principales pathologies et anomalies rencontrées sont : la métastrongylose (45,5 %), la cysticercose (33,3 %) et la mauvaise saignée (22,4 %).
Au vue des résultats trouvés, nous recommandons de revoir la conduite de l'élevage et la technique d'abattage, aussi, une collaboration étroite entre les éleveurs, les bouchers et les services vétérinaires devrait être fortifiée.
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